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Bienvenue sur mon blog: Poésies; Citations; Ouvrages; Ella Classé dans : Un brin de poèsie — 14 mars, 2007 @ 9:53 « Ella » est un recueil de récits, traitant principalement d’amour. Voici d’ailleurs un extrait: »Si l’ordre du cœur est cet ensemble de sentiments qui s’oppose communément à la raison, cet ensemble qui nous bouleverse, qui trouble nos pensées à ne plus savoir que faire. Alors : je puis dire qu’il est des jours où je me demande comment tu vas ! C’est vrai que notre rencontre ne date que de dimanche, et que je devrais me douter que tu ailles bien. Mais je m’interroge tout de même, car j’ai l’impression que déjà tu as fait tes valises pour t’envoler vers un autre pays, tout comme tu me le disais : là-bas; loin, au bout du monde. Parce que j’ai l’impression que cela fait longtemps que je ne t’ai vu, dès lors je retombe dans l’inconnu et je te revois encore; marchant dans les dédalles de Bruxelles la belle, la chevelure dorée illuminant les limbes de ma joie, j’entends encore ta voix mélodieuse qui m’enivrait à chaque mot prononcé. Je te revois encore ; souriante, me disant salut ; je revois encore tes yeux dans les lesquelles à travers les méandres de l’enfer lorsque je me noyais, je trouvais lumière et réconfort. Parce que tu es celle qui en peu de temps a su rendre à mon cœur le sourire perdu ; et que si tu me disais un seul mot, vers toi je viendrai ! C’est parce que ce matin au levant de mes paupières, une évidence c’est faite grande : tu me manquais ! » » Est-ce encore toi ? Je réalise seulement aujourd’hui le vide qui m’envahit depuis ton départ. Dès lors, je tente d’apaiser la mélancolie de ma tristesse dans les limbes de nos moments de bonheur mais rien n’y fait. Ce vide intense ne cesse de croître ; et il en fut ainsi pendant toutes ces années où j’ai arpenté les rues de notre enfance à la recherche d’un signe de ta présence. Ce matin en me levant, étourdis par le cauchemar qui m’annonçait ta mort, je me sentis à mon tour mourir. Je me dis : Dieu merci, ce n’est qu’un rêve. Jamais cette sensation n’avait traversé mes vertèbres ; cette sensation de vide, de non appartenance, de non existence. En sortant de ma chambre j’ai traîné l’allégorie de mes pensées dans le parc où nous avions l’habitude de flâner à la recherche d’un brin de tranquillité. Au milieu du parc sur ce saule pleureur j’ai retrouvé, gravé sur l’écorce, nos initiales, j’en ai ressenti un terrible frison et je nous revoyais courir à travers les vieux arbres et nous rouler sur l’herbe la tête pleine de joie sans souci du lendemain. Tu sais, j’ai mis de l’ordre dans ma vie, j’ai écouté tes conseils qui sans cesse résonnaient dans ma tête comme les cloches d’une église indiquant midi. Aujourd’hui, en regardant le calendrier cela va exactement faire dix ans que je ne t’ai vu et tes conseils ne cessent de me hanter à croire que tu es toujours près de moi. Il est dit que l’on pourrait passer l’un à côté de l’autre sans se reconnaître mais cette simple pensée est absurde ; je ne peux y croire et je ne veux y croire. Cependant une question tourmente mon esprit : pourquoi es-tu partie, laissant derrière toi ce que tu avais de plus cher ? Pourras-tu seulement un jour répondre à cette question ? Comme je t’imagine en ce moment tu dois lire ces quelques lignes avec tes yeux brillant de sourire, le cœur empli de joie et comme je le fais depuis dix ans, je dois sans doute maintenant déterminer toute ma vie sans toi. Un ciel recouvert de nuages grisâtres est désormais devenu le paysage de mon cœur. Tu sais, j’aurais tant voulu que tu m’emmènes avec toi, là-bas, loin, au bout de la terre, tourner le dos à ce triste monde mais tu en as décidé autrement. Il est également dit que l’habitude et la distance tuent nos sentiments et que l’attente installe un doute. Mais comme beaucoup de choses celle-ci est fausse. Car depuis notre enfance je n’ai cessé de t’aimer, de vouloir avec toi tout partager et depuis ton départ il ne se passe un jour où l’une de mes pensées ne te traverse. Tu me manques, un peu comme les fleurs réclament la douceur de la pluie en période de sécheresse et tu me manques autant que la terre aime le soleil. Je te dois beaucoup tu sais, mais comme tu me le disais si souvent : en amour comme en amitié on ne se doit rien ! Mais j’aurais tout de même une requête à te demander, la voici : lorsque ton cœur sera empli de tristesse, d’amertume et de mélancolie, n’oublie pas que quelque part, pour cette vie et celle d’après, un homme sur cette terre pour l’éternité t’aimera » Un commentaire -- J’ai consulté Classé dans : Un brin de poèsie — 24 janvier, 2007 @ 9:28 J’ai consulté J’ai consulté de vieux grimoires À la recherche d’un brin d’espoir. Perdu dans les envoûtements du mistral, Ma douce personne pleure son récital. Je t’ai cherché parmi mille, Toi femme source du Nil. J’ai consulté de vieux grimoires À la recherche d’un brin d’espoir. Dans les méandres de la tristesse, Dépourvu de la plénitude allégresse, Mon âme perd tout goût, Et mes amours se noient dans le dégoût. Mais j’ai consulté de vieux grimoires, À la recherche d’un brin d’espoir. Ô toi douce fleur du mal, Je ne connais plus de doux récital, Car ton amour en moi est moins qu’un soupir. Tu m’es devenu l’Hortensia du martyr. Et dans mon cœur tu es devenu la femme au milles beautés, Nous vivrons dans la plus grande sérénité. Dans mon cœur tu es devenu la femme aux mille parfums, Celle qui me dis que demain….. Pas de commentaire -- À vous belle étrangère Classé dans : Un brin de poèsie — 3 janvier, 2007 @ 10:57 « Je vous aime belle étrangère » Qui d’entre nous ne s’est jamais arrêté instant pour admirer cette belle étrangère que l’on croise dans la rue le soir, dans une rame de métro, sur le quai d’une gare ou tout simplement dans un bus plein un matin d’hiver ? Alors pour vous belle étrangère, je vous livre ce poème : Je vous aime Belle étrangère Je vous aime belle étrangère Je vous aime belle étrangère, Vous qui êtes une femme pleine de mystère. Face à vous, que faire ? Si ce n’est vous admirer et se taire ! Ô douce destinée, laissez-moi faire votre connaissance, Je vous en conjure de toute ma bienveillance, Que je vous aimerai en abondance. Ô belle étrangère, laissez-moi devenir votre amant, Douce étoile du firmament Vous qui êtes source de mes sentiments. Comme sous mon seuil, Y a pas de plus bel écueil, Nul que vous inspirera mon doux recueil. Trésor sans pareil vous êtes mon Hortensia, oh ! Cœur de mes sentiments profond, Qui anime le souffle de mes poumons. Impossible sur vous, de détourner les yeux ! Admirable femme au regard savoureux. Et aux sentiments nébuleux Ô Orchidée de l’amour de demain nous serons, Unis dans un amour de passion Qui ne connaîtra point la trahison. Je vous aime femme aux mille mystères, Vous qui êtes cette belle étrangère, Vous qui êtes si extraordinaire. La beauté de l’aurore, Aura votre belle personne comme trésor, Et notre amour comme or. Je vous aime femme extraordinaire, Vous qui êtes pleine de mystère Et au regard sincère. Beau sur votre cou merveilleux, Ornements et bijoux brillent de mille feux, Comme ce cheval fougueux. Face à vous, que faire ? Si ce n’est vous admirer et se taire Oh belle étrangère !!! Univoque dans votre amour, Mes sentiments vivront pour toujours. Le soleil fait briller votre teint. Ô belle étoile du matin, Futile et mystérieux est votre parfum. Je vous aime belle étrangère Vous qui êtes une femme pleine de mystère Face à vous, que faire ? Si ce n’est que vous admirer et se taire. Luis-Dominique Kisalu Extrait de ‘’Cruelle Innocence’’ Tous droits réservés Artésis Editions, collection Chrysalide 2004. www.artesiseditions.com Pas de commentaire -- Les amants de la terre Classé dans : Un brin de poèsie — 3 janvier, 2007 @ 10:35 Ce poème est issu du recueil de poésie : « Cruelle Innocence » Les amants de la Terre est ma du rêve, mon illusion. Vous savez lorsque le soir souvent nos yeux sont rivés vers les étoiles le cœur ressent ce sentiment étrange. Ce sentime